Eugen Gomringer
Konkrete Kunst im Wechsel der Begriffe
Der Maler Francesco Camponovo ist 1951 in der Schweiz in die Jahre hineingeboren, die es im konstruktiven und konkreten Kunstsektor notwendig erachten liessen, in deren zentraler Beobachtungsstätte, dem Haus gleichen Namens, später dem „Haus Konstruktiv„, in Zürich mit einer breit angelegten Ausstellung „Regel und Abweichung 1960-1997“ über den Stand der Entwicklung zu informieren. Das war vielsagend, waren doch schon mehrere Jahrgänge von Künstlerinnen und Künstlern bereit gewesen, neue Ansatzpunkte aufzugreifen. Im Jahr 1960 hatte überdies Max Bill schon mit der historischen Aufarbeitung „Konkrete Kunst – 50 Jahre Entwicklung“ auf die ehemals weit geöffnete Grundlegung hingewiesen. Immer präziser zugreifend lud dann 2006 das „Haus Konstruktiv“ schließlich zur Ausstellung „Ordnung und Verführung“ ein, als Antwort darauf, dass sich „in den letzten Jahren ein neues bildnerisches Interesse an Klarheit, Reduktion und Systematik entwickelt hat“ – im verführerischen Spiel mit einer genauen Beobachtung ästhetischer Oberflächen.
Francesco Camponovo hat 2020 in einem stattlichen, informativ komponierten Katalog die Entwicklung seiner Arbeit mit einem „Modular Field“ von 2001 einsetzen lassen, die er, jahrgangsmässig am Ende, 2020 mit „Modular Cadences“ abschloss. Darin eingefasst sind 20 Jahre Konstruktiver Kunst eigener und fremdprägung. Wagt man es, dem Anspruch einer gewichtigen Periode des Lebenswerks unter Vernachlässigung subjektiver Entscheidungen einen Sinnspruch voranzustellen, könnte er lauten: Was bleib ihm, dem relativ spät geborenen anders übrig als der Vielfalt der Einfalt der Konkreten und Konstruktiven Kunst in „einem anspruchsvollen Dialog mit sich selbst“ zu begegnen (von einem solchen Dialog spricht instruktiv der Autor des Vorwortes des Kataloges, Gérard Xuriguera, Paris 2019).
Der Künstler hat dem Dialog so viel Eigenständiges abgewinnen können, dass die Übersicht über zwei Jahrzehnte heute einem Nachschlagwerk gleicht, beruhend auf bekannten, augenfälligen Voraussetzungen, hinweisend aber ebenso auf erspähte Lücken im historischen Programm, der von ihm ausgekundschafteten Kunst.
Am innigsten zugewandt hat sich der Künstler zwei grundlegenden Disziplinen Konstruktiver Kunst: Der Linie und dem Netz. Wenn man Geist und Charakter seiner Linie gerne einem Henry van de Velde zur psychischen Bewertung überantworten möchte, hat Francesco Camponovo sich konsequent nur mit der gebrochenen Linie befasst. Er lässt der Linie nicht den ruhigen Fluss sondern bricht ihn meisterlich vertikal und horizontal, was intentional gelenkte Unruhe und Bewegung bewirkt. Darum geht es ihm, das ergibt neue Bildideen. Er hat ein authentisches Linienprogramm erschlossen, das Anspruch auf separate Beachtung erheben darf. Beim erwähnten letzten Bildwerk 2020 „Modular Cadences“ ist dies grossartig gelungen.
Da ein Netz zwar auch aus Feldern paralleler Linien senkrecht wie waagrecht, bestenfalls jedoch aus gekreuzten Linien aufgebaut ist, ist es bei Camponovo ebenfalls den Brechungen preisgegeben. „Broken Grids“ sind bei ihm Neufassungen konstruierter Untersuchungen und besitzen Eigenwert, sind fundamentale Experimente. Er hat sich mit Linien und Netzwerken und abhängigen Brechungen einen eigenen Spielraum authentischer Herkunft geschaffen.
Diese neuen, durch „Abweichungen“ gewonnenen Bildgegenstände sind formal-ästhetisch zu erfassen, doch spürbar ist auch die Abwesenheit von Inhalt, wie ihn zum Beispiel der einfache Kubus besitzt. Erinnert man sich an die frühen theoretischen Begründungen Konkreter Kunst, stellen sich psychische Konkretionen neben absoluter Malerei dar. Diese, unterstützt durch tonangebende Namen übernahmen fürs erste die Führung. Wo wissenschaftliche Exaktheit in die Lebenswirklichkeit eingriff, bot sie sich wie selbstverständlich als die visuelle Komponente an. Die psychische Linie andererseits mochte sich, losgesagt vom konkret Konstruktiven, persönlichen Erfahrungswelten anschließen. Dass dieser Abzweig seine eigene, oft dominante Bestätigung in der Kunst erfuhr, war je länger je weniger zu übersehen. Unter Konkreter Kunst wird kaum noch an deren Doktrin erinnert, sie gilt vielmehr als allgegenwärtiges Vorkommen in der nicht realistischen Begegnung.
In der Vermengung mit digitaler Ästhetik wird jedoch öfter an die analogen Qualitäten Konstruktiver Kunst erinnert. Hauptsächlich im Werk jüngerer Künstlerinnen macht sich eine Suche nach Festigung, Klarheit der Verhältnisse im Bildaufbau und in der Skulptur bemerkbar. Und dies auch im Konstruktiven von Camponovo. Die Häufigkeit von Netzwerken und Modulen lassen auch in seiner Kunst den Begriff der Resilienz, des Überlebens aufleben. In der Kontingenz der Brechungen liegt Herkunft und Zukunft. Die zu erwartenden Arbeiten werden sich der Frage stellen. Francesco Camponovo wird neue Archetypen für die Konstruktive und Konkrete Kunst schaffen.
Rehau, Juli 2021
Eugen Gomringer
L’art concret dans l’évolution des concepts
Le peintre Francesco Camponovo est né en Suisse en 1951, dans une décennie au cour de laquelle des représentants de l’art concret et construit ont commencé une réflexion sur l’état de développement de cette tendance artistique. Cela aboutira à la vaste exposition «Regel und Abweichung 1960 – 1997» (Règle et Divergence 1960 -1997) au musée Haus Konstruktiv, à Zurich. C’était révélateur, car elle a montré que plusieurs générations d’artistes étaient déjà prêtes à adopter de nouvelles démarches. En 1960, Max Bill avait d’ailleurs mis en évidence cette ouverture dans son analyse historique «Konkrete Kunst – 50 Jahre Entwicklung» (Art concret – 50 ans de développement). D’une manière encore plus ciblé, le musée Haus Konstruktiv organisa en 2006 l’exposition «Ordnung und Verführung» (Ordre et Séduction) en réponse à un nouvel intérêt visuel pour la clarté, la réduction et la systématique qui s’étaient développées dans un jeu séduisant d’une observation précise des surfaces esthétiques.
Dans son imposant catalogue de 2020 composé de manière informative, Francesco Camponovo a montré le développement de son travail débutant chronologiquement avec un «Modular Field» de 2001 et le concluant avec des «Modular Cadences» de 2020. Il englobe 20 ans de travail d’art construit en partie clairement libre d’influence extérieure. Si l’on voulait préfacer une période importante de son œuvre par une devise, on pourrait dire : que pouvait-il faire d’autre, lui qui est né relativement tard, sinon que d’aborder la diversité de la simplicité de l’art concret et construit dans „un dialogue exigeant avec lui-même“ (d’un tel dialogue parle de manière instructive l’auteur de la préface du catalogue Gérard Xuriguera, Paris 2019).
Francesco Camponovo a su tirer du dialogue tant d’éléments qui lui sont propres que le bilan de deux décennies ressemble aujourd’hui à un ouvrage de référence, fondé sur des critère préalables et évidents, mais qui signale aussi les lacunes qu’il a repérées dans le programme historique de l’art qu’il a exploré.
L’artiste s’est consacré plus intimement à deux disciplines fondamentales de l’art construit : la ligne et le grillage. Si l’on souhaite confier l’esprit et le caractère de sa ligne à un Henry van de Velde pour une évaluation psychologique, Francesco Camponovo n’a toujours traité que de la ligne brisée. Il ne laisse pas la ligne s’écouler calmement, mais la casse magistralement verticalement et horizontalement, ce qui entraîne une fébrilité et un mouvement intentionnellement dirigés. C’est ce qui le préoccupe, c’est ce qui donne naissance à de nouvelles idées picturales. Il a élaboré ainsi un authentique programme de lignes qui peut se prévaloir d’une attention particulière. Il y est magnifiquement parvenu avec la dernière œuvre de 2020 «Modular Cadences», mentionnée plus haut. Puisqu’une grille est constituée de champs de lignes parallèles verticales et horizontales qui se croisent, elle est également soumise à des brisures dans l’œuvre de Camponovo. Pour lui, les «Broken Grids» sont de nouvelles versions des recherches constructives et ont une valeur intrinsèque, ce sont des expérimentations fondamentales. Avec des lignes, des grillages et leurs brisures il a créé son propre espace d’origine authentique.
Ces nouveaux objets picturaux, obtenus grâce à des variations, se laissent saisir formellement et esthétiquement, et de plus l’absence de contenu, comme celui que possède le simple cube, est également perceptible. Si l’on se souvient des premières justifications théoriques de l’art concret, les concrétions psychiques se profilent à côté de la peinture absolue. Celles-ci, soutenues par des artistes qui donnaient le ton à l’époque, ont prévalu pour un certain temps. Là où l’exactitude scientifique intervenait dans la réalité de la vie, elle s’offrait comme une évidence en tant que composante visuelle. La ligne psychique, en revanche, a pu rejoindre des mondes d’expérience personnelle, détachée du concret constructif. Le fait que cette ramification ait connu sa propre confirmation, souvent dominante dans l’art, ne pouvait pas passer inaperçu. Dans le cadre de l’art concret, on ne pense plus guère à sa doctrine, mais on considère cet art plutôt comme une occurrence omniprésente dans la démarche non-réaliste.
Cependant, dans l’entremêlement avec l’esthétique numérique, les qualités analogiques de l’art construit sont davantage évoquées. C’est surtout dans l’œuvre de femmes artistes contemporaines que l’on remarque une recherche de consolidation, de clarté des relations dans la structure du tableau et dans la sculpture. Et c’est également le cas dans le travail constructif de Camponovo. La fréquence des grilles et des modules fait également renaître le concept de résilience, de survie dans son art. Dans la contingence des brisures se trouvent l’origine et l’avenir. Les travaux attendus devront répondre à la question. Francesco Camponovo créera de nouveaux archétypes pour l’Art Concret et Construit.
Rehau, Juillet 2021 [Traduction]
Eugen Gomringer
Concrete art in the evolution of concepts
The painter Francesco Camponovo was born in Switzerland in 1951, in a decade in which representatives of concrete and constructive art began to reflect on the state of development of this artistic tendency. Eventually, this led to the comprehensive exhibition «Regel und Abweichung 1960-1997» (Rule and Divergence 1960-1997) at the Haus Konstruktiv in Zurich. This was revealing, as it showed that several generations of artists were ready to adopt new artistic approaches. In 1960, Max Bill had already highlighted this openness in his historical analysis «Konkrete Kunst – 50 Jahre Entwicklung» (Concrete Art – 50 Years of Development). In 2006, the Haus Konstruktiv organized the exhibition «Ordnung und Verführung» (Order and Seduction) in response to a new visual interest in clarity, reduction and systematicity that had developed – in a seductive game of precise observation of aesthetic surfaces.
In an impressive and informative catalogue of 2020, Francesco Camponovo showed the development of his work, beginning chronologically with «Modular Field» of 2001 and concluding with «Modular Cadences» of 2020. It encompasses 20 years of constructive art work, some of which is clearly free of external influence. If one wanted to preface an important period of his work with a sentence, it could be the following: what else could he do, this relatively late-born artist, but to approach the diversity of the simplicity of concrete and constructive art in „a demanding dialogue with himself“ (of such a dialogue speaks instructively the author of the introduction to the catalogue Gérard Xuriguera, Paris 2019).
Francesco Camponovo has been able to draw so many of his own elements from this dialogue that the overview of two decades now resembles a reference work, based on pre-existing and evident prerequisites, but which also points out the gaps he has spotted in the historical programme of the art he has been exploring.
The artist has devoted himself more intimately to two fundamental themes of constructive art: the line and the grid. If one wishes to entrust the spirit and character of his line to a Henry van de Velde for psychological evaluation, one could say that Francesco Camponovo has always dealt only with the broken line. He does not let the line flow calmly, but masterfully breaks it vertically and horizontally, in intentionally directed restlessness and movement. This is what he is concerned with, this is what gives rise to new pictorial ideas. In this way, he has developed a genuine programme of lines that can claim special attention. He has succeeded magnificently in this with the last of the above mentioned 2020 pictorial work «Modular Cadences».
Since a grid is made up of intersecting fields of parallel vertical and horizontal lines, it is also subject to breakage in Camponovo’s work. For him, the «Broken Grids» are new versions of constructive investigations and have an intrinsic value; they are fundamental experiments. With lines, grids and breaks he has created his own authentic original space.
These new pictorial objects, obtained through variations, can be grasped formally and aesthetically; further the absence of content, such as that possessed by the simple cube, is also perceptible. If we recall the early theoretical justifications of concrete art, psychic concretions stand out next to absolute painting. These, supported by tone-setting artists, prevailed for some time. Wherever scientific exactness intervened in the reality of life, it was self-evident as a visual component. The psychic line, on the other hand, was able to reach worlds of personal experience, detached from the constructive concrete system. The fact that this branching had its own confirmation, often dominant in art, could not go unnoticed. In the context of concrete art, one hardly thinks of its doctrine anymore, but rather considers this art as a ubiquitous occurrence in the non-realistic approach.
However, in the intermingling with digital aesthetics, the analogue qualities of constructive art are more often recalled. Especially in the work of the young women artists, one notices a search for consolidation, for clarity of relationships in the structure of the painting and in the sculpture. And this is also the case in the constructive work of Camponovo. The frequency of grids and modules also brings back the concept of resilience, of survival, in his art. In the contingency of breakage lies the origin and the future. The works to come will have to address the question. Francesco Camponovo will create new archetypes for Constructive and Concrete Art.
Rehau, July 2021 [Translation]
Eugen Gomringer
L’Arte Concreta nell’evoluzione dei concetti
Il pittore Francesco Camponovo è nato in Svizzera nel 1951, in un decennio in cui i rappresentanti dell‘ Arte Concreta e Costruita hanno iniziato a riflettere sul livello di sviluppo di questa tendenza artistica. Ciò ha condotto alla mostra esaustiva „Regel und Abweichung 1960 – 1997“ (Regola e Divergenza 1960 – 1997) al Museo Haus Konstruktiv di Zurigo. Si trattava di un’esposizione rivelatrice, in quanto dimostrava che diverse generazioni di artisti erano già pronte ad adottare nuovi approcci artistici. Nel 1960, Max Bill aveva già evidenziato questa apertura nella sua analisi storica „Konkrete Kunst – 50 Jahre Entwicklung“ (Arte Concreta – 50 anni di sviluppo). Nel 2006, la Haus Konstruktiv ha organizzato la mostra „Ordnung und Verführung“ (Ordine e Seduzione) in risposta a un nuovo interesse visivo per la chiarezza, la riduzione e la sistematicità, che si erano sviluppati in un gioco seducente di un’osservazione precisa delle superfici estetiche.
Nel suo imponente e informativo catalogo del 2020, Francesco Camponovo ha mostrato lo sviluppo del suo lavoro partendo cronologicamente da un „Modular Field“ del 2001 e concludendo con „Modular Cadences“ del 2020. Si tratta di 20 anni di opere d’arte costruita in parte chiaramente libera di influenze esterne. Se si volesse premettere un motto a un periodo importante del suo lavoro, si potrebbe dire: che altro poteva fare l’artista, nato relativamente tardi, se non accostarsi alla diversità della semplicità dell’Arte Concreta e Costruita in „un dialogo esigente con se stesso“ (di tale dialogo parla in modo istruttivo l’autore della prefazione del catalogo Gérard Xuriguera, Paris 2019).
Francesco Camponovo ha saputo trarre dal dialogo così tanti elementi propri che il bilancio di due decenni oggi assomiglia a un’opera di referenza, che si basa su conoscenze anteriori e ovvie, ma che mostra anche le lacune individuate nel programma storico dell’arte che ha esplorato.
L’artista si è dedicato più intimamente a due discipline fondamentali dell’Arte Costruita: la linea e la griglia. Se si vuole affidare lo spirito e il carattere della sua linea a un Henry van de Velde per una valutazione psicologica, Francesco Camponovo si è costantemente occupato solo della linea spezzata. Non lascia che la linea scorra tranquillamente, ma la spezza magistralmente in verticale e in orizzontale, provocando agitazione e movimento intenzionalmente diretti. Questo è ciò che gli interessa e che si traduce in nuove idee pittoriche. In questo modo ha sviluppato un vero e proprio programma di linee che può rivendicare una considerazione separata. Con l’ultima opera già citata del 2020 „Cadenze Modulari“ ci è riuscito magnificamente.
Poiché una griglia è costituita da campi intersecanti di linee parallele verticali e orizzontali, essa è pure soggetta nel lavoro di Camponovo a fratture. Per lui le “ Broken Grids“ sono nuove versioni della ricerca costruttiva e hanno un valore intrinseco, sono esperimenti fondamentali. Con le linee, le griglie e le loro fratture ha creato il suo spazio d’origine autentico.
Questi nuovi oggetti pittorici, ottenuti attraverso variazioni, possono essere recepiti dal punto di vista formale-estetico, ma si nota pure l’assenza di contenuto, come per esempio quello posseduto dal semplice cubo. Se ricordiamo le prime giustificazioni teoriche dell’Arte Concreta in rapporto alla pittura assoluta, spiccano le concrezioni psichiche. Queste ultime, sostenute da artisti che allora davano il tono, hanno prevalso per qualche tempo. Laddove l’esattezza scientifica interveniva nella realtà della vita, esse si offrivano naturalmente come componenti visive. La linea psichica, invece, era in grado di raggiungere mondi di esperienza personale, distaccati dal sistema costruttivo concreto. Il fatto che questo genere abbia avuto una sua conferma, spesso dominante nell’arte, non poteva passare inosservato. Oggigiorno la dottrina dell’Arte Concreta non viene praticamente più ricordata e questa forma d’arte è considerata come un evento onnipresente nell’approccio artistico non-realista.
In relazione all’estetica digitale, tuttavia, le qualità analogiche dell’Arte Costruttiva sono sempre più spesso evocate. È soprattutto nelle opere delle artiste più giovani che si nota una ricerca di consolidamento, di chiarezza di rapporti nella composizione pittorica e nella scultura. E questo è anche il caso nell’opera di Camponovo. La frequenza delle griglie e dei moduli fa rivivere anche nella sua arte il concetto di resilienza, di sopravvivenza. Nella contingenza delle fratture risiede l’origine e il futuro. Le opere a venire dovranno affrontare la questione. Francesco Camponovo creerà nuovi archetipi per l’Arte Concreta e Costruttiva.
Rehau, Luglio 2021 [Traduzione]